VMware

  • Broadcom dans le viseur de la commission EU

    Selon différentes sources, Broadcom serait dans le viseur de la commission européenne pour son rachat de VMware.

  • Broadcom s’accapare le channel de VMWare

    Broadcom, a annoncé fin décembre la fin du programme channel de VMware. Les membres sont transférés sur le programme de Broadcom.

  • Colt et VMware proposent un SD-Wan mondial

    Le fournisseur de solutions de connectivitĂ© et VMware s’associent pour une solution SD-WAN simplifiĂ©e.

  • Dell enterre son accord de distribution avec VMware

    L’accord de distribution qui unissait les deux sociĂ©tĂ©s depuis 2021 et l’émancipation de VMware n’aura pas survĂ©cu bien longtemps au rachat rĂ©alisĂ© par Broadcom en novembre dernier.

  • Deloitte et VMware crĂ©ent un pĂŽle commun sur le Cloud distribuĂ©

    Les deux partenaires annoncent conjointement la création de Deloitte VMware Distributed Cloud.

  • Divorce Ă  l'amiable entre Dell et VMware

    Dell va mettre sur le marché son bloc d'actions VMware pour réduire son endettement.

    Dell a annoncé hier son intention de se séparer de son bloc de 81% d'actions de VMware pour réduire sa dette contractée aprÚs le rachat d'EMC. A cette occasion VMware va distribuer un dividende exceptionnel. De ce fait Dell va recevoir plus de 9 milliards de dollars hors taxes.

    L'opération avait déjà été annoncée par un document en juillet dernier. Dell espÚre abaisser ainsi sa dette à long terme et obtenir une meilleure note de crédit auprÚs des investisseurs tout en simplifiant sa structure capitalistique. Une partie du dividende sera abondée par le cash disponible chez VMware et le reste sur des lignes de crédits.

    L'opération devrait se conclure au cours du dernier trimestre de cette année. Les deux entités ne rompent cependant pas les ponts et vont conserver un accord commercial et de recherche et développement sur de nouveaux produits à l'avenir. Des bonus sont prévus sur la réussite de ces accords.

    Au bilan, Dell va pouvoir abaisser sa dette tout en conservant un partenariat privilégié avec VMware qui aura plus de marge de manoeuvre pour signer des partenariats avec des concurrents de Dell, principalement dans le secteur du Cloud.

    Michael Dell a fait le choix du spin-off de VMware pour réduire sa dette.
  • KKR s’apprĂȘterait Ă  reprendre VMWare EUC

    Le fonds d’investissements serait prĂȘt Ă  reprendre les actifs de l’entitĂ© utilisateurs finaux de VMware selon Reuters.

  • Les machines virtuelles Citrix sur Windows 11

    Citrix annonce travailler sur une nouvelle version qui permettra Ă  ses machines virtuelles de fonctionner sous Windows 11.

  • Nvidia virtualise les workflows IA

    Le fabricant de GPU annonce la disponibilitĂ© gĂ©nĂ©rale de sa suite Nvidia AI Enterprise, qui permet de virtualiser les charges de travail sur VMware vSphere et des serveurs standards. Une maniĂšre selon Nvidia, qui s’appuie ici sur une poignĂ©e de partenaires, de dĂ©mocratiser l’intelligence artificielle.

  • Orange et VMware rendent le SD-WAN flexible

    Les deux entreprises étendent leur collaboration avec une offre SD-WAN nativement intégrée dans Evolution Platform.

  • Partenariat tripartite entre NetApp, VMware et AWS

    Les trois entreprises ont a annoncé la mise à disposition de d'Amazon FSx pour NetApp ONTAP avec VMware Cloud on AWS, un seul de stockage cloud AWS natif certifié et pris en charge en tant que banque de données supplémentaire pour VMware Cloud on AWS.

  • Pat Gelsinger quitte VMware pour retourner chez Intel comme CEO

    L’ancien de chez Intel et PDG de VMware remplacera Bob Swan le 15 fĂ©vrier et tentera de redresser une entreprise ayant progressivement perdu son influence sur le marchĂ© face Ă  ses compĂ©titeurs.

    Intel a dĂ©cidĂ© de laisser les commandes de son navire Ă  l’un de ses anciens employĂ©s pour tenter de retrouver compĂ©titivitĂ© et influence en bernes au cours des derniĂšres annĂ©es.

    Pat Gelsinger a Ă©tĂ© nommĂ© nouveau PDG d’Intel, a annoncĂ© l’entreprise de semi-conducteurs mercredi, rapportent plusieurs mĂ©dias amĂ©ricains. L’ancien vice-prĂ©sident et manager gĂ©nĂ©ral d’Intel entre 1979 et 2009 et prĂ©sident de VMware prendra ses fonctions le 15 fĂ©vrier en remplacement de Bob Swan.

    « Revenir en tant que PDG dans un pĂ©riode aussi critique sur le plan de l’innovation – avec l’accĂ©lĂ©ration et la massification de la digitalisation – sera le plus grand honneur de ma carriĂšre », a Ă©crit Pat Gelsinger dans un message de remerciements publiĂ© sur le site d’Intel.

    Rassurer Third Point

    Ses objectifs principaux consisteront Ă  rendre Intel Ă  nouveau attractif auprĂšs de ses fournisseurs, d’y insuffler une nouvelle dynamique, de stopper la saignĂ©e d’ingĂ©nieurs partis Ă  la concurrence et, de facto, de satisfaire ses actionnaires.

    La dĂ©cision intervient en effet quelques semaines aprĂšs que le fonds d’investissement Third Point l’a enjoint Ă  « explorer des stratĂ©gies alternatives » selon une lettre interne Ă  l’entreprise, citĂ©e par Reuters. « La perte de la place de leader mondial du marchĂ© ainsi que d’autres erreurs ayant permis Ă  d’autres concurrents de se tourner vers les semi-conducteurs de TSMC ou Samsung et gagner des parts de marchĂ© sur celles d’Intel », avertissait-elle.

    Intel a vu sa capitalisation boursiĂšre baisser, au point d’ĂȘtre Ă©valuĂ©e 100 milliards de dollars de moins que Nvidia, a perdu Apple comme fournisseur de processeurs pour Macs, est passĂ© derriĂšre des concurrents comme TSMC ou Samsung sur le marchĂ© des semi-conducteurs et envisagĂ© dĂ©localiser la production de certains de ses composants, listait le Wall Street Journal.

  • Tanzu Application Platform disponible

    VMware annonce la disponibilitĂ© de Tanzu application Platform, une plate-forme regroupant les outils pour des dĂ©veloppements d’applications nativement Cloud.

  • Une faille critique chez VMware activement exploitĂ©e

    Panique Ă  bord ! La semaine derniĂšre, on a appris la prĂ©sence d’une vulnĂ©rabilitĂ© critique dans vCenter Server. Un exploit a Ă©tĂ© publiĂ© et la faille serait actuellement utilisĂ©e par des attaquants. Il est donc urgent de prendre les mesures appropriĂ©es.

  • Une faille critique chez VMware activement exploitĂ©e

    Panique Ă  bord ! La semaine derniĂšre, on a appris la prĂ©sence d’une vulnĂ©rabilitĂ© critique dans vCenter Server. Un exploit a Ă©tĂ© publiĂ© et la faille serait actuellement utilisĂ©e par des attaquants. Il est donc urgent de prendre les mesures appropriĂ©es.

  • VMware a sa blockchain

    Les diffĂ©rents cas d'usage de la chaĂźne de blocs de VMware. VMware a annoncĂ© hier la disponibilitĂ© commerciale de sa technologie de chaĂźne de blocs aprĂšs plusieurs annĂ©es de dĂ©veloppement, deux ans en phase Beta. Sous le nom de projet Concord, VMware avait annoncĂ© une technologie de partage des donnĂ©es de niveau entreprise qui devait s’appuyer sur diffĂ©rents Ă©lĂ©ments techniques comme la gestion des rĂ©plicas de donnĂ©es dans les environnements Cloud (public ou privĂ©), des fonctions de respect des conformitĂ©s et d’audit, de sĂ©curitĂ©, de tolĂ©rance Ă  la panne et d’intĂ©gration avec les autres offres de VMware. La solution permet d’installer les nƓuds de la chaĂźne de blocs comme des machines virtuelles fonctionnant sur vSphere. Elle permet de mettre en place un rĂ©seau entre plusieurs entreprises souhaitant dĂ©ployer des applications dĂ©centralisĂ©es et effectuer des transactions multiparties.

    Support du langage DAML

    Au final, de nombreuses fonctions annoncĂ©es sont prĂ©sentes. Pour l’infrastructure, l’architecture choisie dĂ©corrĂšle le registre (Ledger) du langage de Smart Contract et supporte le langage DAML (Digital Asset Modeling Language). La plateforme comporte un moteur de consensus, SBFT (Scalable Byzantine Fault Tolerance) pour gĂ©rer l’évolutivitĂ© et la performance de la chaĂźne de blocs tout en assurant la tolĂ©rance de panne et la sĂ©curitĂ©. L’éditeur juge que son moteur est supĂ©rieur Ă  ceux existants car il assure la confiance dĂ©centralisĂ©e dans la chaĂźne avec le support de la gouvernance sur des environnements multi-parties.

    Signatures basées sur les technologies de Sepior

    La signature pour les smart contracts repose sur les technologies de Sepior, une entreprise danoise de chiffrement. Au lieu de conserver une clĂ© privĂ©e dans un lieu centralisĂ©, elle est sĂ©parĂ©e en diffĂ©rents Ă©lĂ©ments stockĂ©s sur plusieurs serveurs. Lors d’une transaction les diffĂ©rentes piĂšces reforment la clĂ© mĂȘme si un serveur ne fonctionne pas ou s’il est corrompu. Cette mĂ©thode rend plus difficile les possibilitĂ©s de voler les clĂ©s. VMware s’est associĂ©e Ă  Digital Asset pour intĂ©grer les contrats intelligents du langage de modĂ©lisation des actifs numĂ©riques, et a Ă©galement Ă©tabli un partenariat avec des entreprises de services tels que Accenture, Infosys et Intellect EU. La plateforme vise particuliĂšrement les entreprises du secteur financier et les agences gouvernementales. Une premiĂšre mise en Ɠuvre fonctionne depuis 2017 pour le marchĂ© boursier australien pour dĂ©velopper une alternative Ă  son systĂšme de paiement Ă©lectronique en place depuis 1995. Cette mise en Ɠuvre s’appuie sur DAML.
  • VMware adapte son programme partenaire autour de Tanzu

    VMware ouvre de nouvelles possibilités de croissance des revenus pour ses partenaires autour de la solution Tanzu.

  • VMWare arrĂȘte la version gratuite ESXi

    L’annonce a Ă©tĂ© faite hier. En accord avec son nouveau programme de fin des licences perpĂ©tuelles, VMWare a retirĂ© ESXi de son catalogue.

  • VMware dĂ©sire SaltStack

    Pour VMware les applications sont au centre de tout et tous les chemins mĂšnent Ă  elles. L’intĂ©rĂȘt de VMware pour SaltStack rĂ©side dans les fonctions d’automatisation qu’apporte cet Ă©diteur ainsi qu’une large communautĂ© open source.

    Si aucun dĂ©tail n’a Ă©tĂ© donnĂ© par VMware sur la transaction financiĂšre, l’éditeur sait trĂšs bien ce qu'il veut faire de SaltStack, un Ă©diteur de solutions d’automatisation permettant aux administrateurs de nombreuses opĂ©rations Ă  distance. A l’origine du logiciel open source Salt, les fonctions d’automatisation de la plate-forme Salt vont permettre d’étendre l’automatisation existante chez VMware au-delĂ  de l’infrastructure pour aller jusqu’à l’application prĂ©sente dans des machines virtuelles ou des containers. 

    Le deuxiĂšme axe d’utilisation sera d’amĂ©liorer vRealize, la suite de gestion du Cloud de VMware, pour une automatisation complĂšte et la gestion des configurations en particulier pour les dĂ©ploiements d’infrastructures dans vRealize Automation.

    La pile sécurité renforcée

    De plus SaltStack renforce la pile de sĂ©curitĂ© de VMware en ajoutant des fonctions de sĂ©curitĂ© des opĂ©rations informatiques (conformitĂ© et vulnĂ©rabilitĂ©s). CrĂ©Ă© en 2012, SaltStack a levĂ© jusqu’à prĂ©sent 28 M$. VMware a assurĂ© vouloir continuer le dĂ©veloppement de Salt et n'a rien changĂ© Ă  ses rapports avec la communautĂ©. A voir quels seront les prochains dĂ©veloppements sur la direction de cette communautĂ© aprĂšs la prochaine confĂ©rence autour du logiciel qui se tiendra le 29 octobre prochain.

    VMware met les bouchĂ©es doubles pour obtenir une pile complĂšte de gestion et d’automatisation sur les environnements clouds natifs ou non pour arriver Ă  offrir une plate-forme clĂ© en main de dĂ©ploiement et de gestion des infrastructures qui remonte jusqu’à l’application. 

    Ce rachat sera de plus particuliĂšrement utile pour renforcer le portefeuille autour de Tanzu, l’environnement de gestion et d’orchestration sous Kubernetes de VMware. Un achat donc utile et qui ne mettra pas en danger la trĂ©sorerie de VMware.

    Mark Chenn, CEO et co-fondateur de SaltStack.
  • VMware dispute Ă  Nutanix son CEO

    Le temps n'est pas au beau fixe entre VMware et Nutanix. Au début du mois, le second a nommé CEO Rajiv Ramaswami, deux jours aprÚs que celui-ci ait quitté son poste de COO du premier. Le géant de la virtualisation réagit par une plainte pour violation des obligations contractuelles liant l'ancien responsable et VMware.

    Le 7 dĂ©cembre, Rajiv Ramaswami quittait VMware, oĂč il occupait le poste de COO. Le 9, il annonçait prendre la direction de Nutanix, poste rĂ©cemment abandonnĂ© par le fondateur du spĂ©cialiste de l'hyperconvergence, Dheeraj Pandey. Il n'en fallait pas plus pour que VMware voit rouge. Les deux entreprises sont en effet en concurrence directe quant aux solutions hyperconvergĂ©es et de virtualisation, chacun se prĂ©valant de tel ou tel Magic Quadrant du Gartner, les deux CEO, s'Ă©tripant joyeusement sur Twitter ou dans les colonnes de la presse spĂ©cialisĂ©e.

    Mais la nomination de Rajiv Ramaswami est pour VMware la goutte d'eau qui fait dĂ©border l'appliance. Ni une ni deux, l'Ă©diteur a saisi les tribunaux amĂ©ricains, nous apprend The Economic Times. Sa plainte vise son ancien COO, qu'il accuse d'avoir enfreint ses obligations contractuelles Ă  l'Ă©gard de son ancien employeur. "Au moins deux mois avant sa dĂ©mission, alors qu'il travaillait avec la direction pour dĂ©finir la trajectoire et la stratĂ©gie de VMware, M. Ramaswami rencontrait secrĂštement les CEO et CFO de Nutanix, et apparemment l'ensemble de son Board of Directors, en vue de devenir CEO de Nutanix" reproche VMware. 

    Passe d'armes virtuelle

    Ce dernier ajoute avoir bien tentĂ© de rĂ©soudre l'affaire Ă  l'amiable mais que ni Rajiv Ramaswami, ni Nutanix n'entendaient coopĂ©rer. Selon VMware, "M. Ramaswami a fait preuve d'un manque de jugement et a connu une pĂ©riode claire et prolongĂ©e de conflit d'intĂ©rĂȘts. Il aurait dĂ» divulguer ce conflit d'intĂ©rĂȘts Ă  VMware afin que l'entreprise puisse prendre des mesures pour se protĂ©ger. Mais il n'a pas informĂ© VMware, et a ainsi privĂ© l'entreprise de la possibilitĂ© de [se protĂ©ger] en dissimulant ses activitĂ©s liĂ©es Ă  Nutanix".

    Du cĂŽtĂ© de Nutanix, on dĂ©nonce une action "malavisĂ©e" de VMware, "en rĂ©ponse Ă  la perte d'un membre apprĂ©ciĂ© et respectĂ© de son Ă©quipe de direction". "Il est dĂ©cevant de voir la direction de VMware le poursuivre simplement parce qu’il a choisi de saisir l’opportunitĂ© de devenir CEO d’une sociĂ©tĂ© cotĂ©e" ajoute le spĂ©cialiste de l'hyperconvergence. Quant Ă  la rĂ©solution du conflit Ă  l'amiable, Nutanix assure que Rajiv Ramaswami et l'entreprise "ont tout fait pour ĂȘtre proactifs et coopĂ©ratifs avec VMware tout au long de la transition" et se dit prĂȘt Ă  affronter son concurrent devant les tribunaux.