Slack

  • Box AI intĂ©grĂ© dans Slack

    Les deux entreprises étendent leur partenariat technologique avec de nouvelles intégrations.

  • Docusign intĂšgre CLM avec Slack

    Le fournisseur de solutions de signature électronique annonce une intégration de sa solution CLM avec Slack.

  • Envoyer des emails est dĂ©passĂ© !

    Une étude réalisée pour le compte de Slack auprÚs de salariés britanniques démontre que 27 % de ceux-ci trouvent la communication par email dépassée et représente une perte de productivité.

  • Le temps du copycat

    L’application de chat-audio la plus populaire du moment voit beaucoup de ses concurrents reprendre son idĂ©e et l’incorporer Ă  leurs applications. Dans le mĂȘme temps, Instagram et Snapchat se mettent Ă  faire du TikTok. Et Slack fait de l'Instagram aussi.

    Investissez le marché avec une idée novatrice. Captez ce nouveau marché. Faites-vous copier par la concurrence. Les entreprises des Big Tech sont coutumiÚres du fait. Facebook a créé Stories pour faire concurrence à Snapchat. Facebook a fini par racheter Instagram aprÚs que celui-ci lui prenait des parts de marché. Etc.

    La donne n’a pas changĂ© en 2021. AprĂšs Twitter et son Communities, voici que d’autres entreprises se tournent vers des applications-clones de Clubhouse, l’application de chat-audio la plus populaire du moment. Lorsque Instagram copie TikTok. Et que Slack copie Instagram.

    Ainsi, Discord, LinkedIn, Spotify ou encore Slack ont tous annoncĂ© dĂ©velopper des applications de chat-audios similaires Ă  Clubhouse depuis le dĂ©but de la semaine, alors que l’entreprise surfe sur un succĂšs insolent. Clubhouse est en effet passĂ©e de deux millions d’utilisateurs en janvier dernier Ă  dix millions en fĂ©vrier, selon les chiffres communiquĂ©s par son patron Paul Davidson, lors d’un town-hall meeting. Elle n’en comptait que 1500 en mai 2020.

    Jeu des sept différences

    Bien sĂ»r, toutes ont leur spĂ©cificitĂ© propre qui les distingue de Clubhouse. Dans le cas de LinkedIn, par exemple, l’application sera directement reliĂ©e Ă  Stories, la fonction live-vidĂ©o de LinkedIn, lequel a crĂ©Ă© un nouveau statut de crĂ©ateur pour que ses utilisateurs puissent configurer leur profil et en suivre d’autres.

    Celui de Discord s’appelle Stage Channels et est disponible sur toutes les plateformes depuis le 31 mars, faisant d’elle la premiĂšre application de chat-audio disponible ailleurs que via Ios ou Android. Spotify a de son cĂŽtĂ© fait le pari du rachat en acquĂ©rant Locker Room, rapporte The Verge, une opĂ©ration dont le montant n’a pas Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©.

    Le patron de Slack, Steward Butterfield, a mĂȘme rĂ©vĂ©lĂ© travailler sur une version de Clubhouse pour Slack... lors d’une interview sur Clubhouse avec Josh Constine, journaliste de TechCrunch.

    Slack fait du Instagram, Instagram et Snapchat font du TikTok

    Mais le serpent qui se mord la queue ne s’arrĂȘte pas lĂ . Dans cette mĂȘme interview sur Clubhouse, Steward Butterfield a Ă©galement rĂ©vĂ©lĂ© travailler sur une version Slack de Stories, l’outil d’Instagram et de Snapchat.

    « Pour les gens le fait d’ĂȘtre capable de s’envoyer constamment des messages va juste accroĂźtre leur envie de se diriger vers ce mode de communication », a admis Steward Butterfield Ă  Josh Constine. Slack rejoint donc LinkedIn et YouTube dans l’utilisation de ce type d’application.

    TikTok n’est Ă©galement pas en reste face Ă  la concurrence. Instagram vient d’annoncer le lancement de Remix, une application permettant de s’enregistrer en vidĂ©o en rĂ©action Ă  une autre vidĂ©o, une fonctionnalitĂ© calquĂ©e sur le mode « Duets Â» de TikTok. Toujours selon TechCrunch, Snapchat serait Ă©galement en dĂ©veloppement sur la mĂȘme fonctionnalitĂ©, aprĂšs avoir lancĂ© Spotlight. Son nom ? Remix.

    Le monde est petit. Et décidément trÚs créatif.

  • Les salariĂ©s prĂ©fĂšrent les messageries par conversation

    Slack a mandatĂ© l'institut Wakefield Research pour interroger 3 000 professionnels utilisant un outil collaboratif tel que Slack ou Teams, aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, au Japon et en Australie. Plus d’un tiers des utilisateurs (36%) prĂ©fĂ©rerait se passer des e-mails plutĂŽt que des messageries professionnelles comme Slack ou Teams.

    Allons-nous vers la disparition de l'e-mail ? Selon le sondage de Wakefield Research pour Slack, 60% des dĂ©cideurs informatiques français pensent qu'une autre forme de communication numĂ©rique remplacera complĂštement l’e-mail dans les 3 ans et prĂšs d'un sur dix (9%) estime que c’est dĂ©jĂ  le cas aujourd'hui. 

    Plus de productivité

    D'autres chiffres de l'Ă©tude prĂȘchent pour la chapelle de Slack dont le but originel Ă©tait de supplanter les messageries Ă©lectroniques classiques. Ainsi, si les utilisateurs comprennent que Slack et Microsoft Teams sont des outils pour des tĂąches diffĂ©rentes, l’enquĂȘte fait Ă©galement ressortir que 79% des utilisateurs dĂ©clarent que les plateformes de communication d'entreprise sont trĂšs ou extrĂȘmement importantes pour mener Ă  bien leur travail, une dĂ©claration encore plus majoritaire chez les utilisateurs de Slack (88%) contre 71% des utilisateurs de Teams. 

    Et pour cause ! Les utilisateurs qui privilĂ©gient l‘usage de la plateforme de messagerie professionnelle par conversation sur l’historique e-mail gagnent l’équivalent de 7,5 heures sur une semaine de travail, soit pratiquement une journĂ©e supplĂ©mentaire chaque semaine.

    Pour les utilisateurs de Slack, 40% des rĂ©unions tĂ©lĂ©phoniques ou en vidĂ©o auraient pu ĂȘtre remplacĂ©es par des messages Slack. Ce n'est pas prĂȘt de changer. 100% des utilisateurs de Slack veulent continuer Ă  l'utiliser mĂȘme aprĂšs la pandĂ©mie, notamment pour collaborer au moment qui leur convient le mieux (34%), amĂ©liorer l'alignement entre les Ă©quipes (34%) et accroĂźtre la productivitĂ© individuelle (33%).

    L'interface de Slack.
  • Panne gĂ©nĂ©rale de quelques heures pour Slack

    Le service de messagerie a connu une panne gĂ©nĂ©rale lundi 4 janvier entre 16h et 21h, pĂ©nalisant des millions d’utilisateurs de retour des vacances de fin d’annĂ©e.

    DĂ©but d’annĂ©e 2021 compliquĂ© pour Slack.

    Le service de messagerie professionnelle a connu une panne gĂ©nĂ©rale lundi 4 janvier 2021 affectant les utilisateurs de pays comme les États-Unis, l’Inde, l’Allemagne ou la Grande-Bretagne entre 16h et 21h, heure française.

    « Nos utilisateurs semblent avoir un problĂšme de connexion Ă  l’application. Nos Ă©quipes enquĂȘtent actuellement et reviendront vers vous avec plus d’informations, » a d’abord communiquĂ© l’entreprise dans une sĂ©rie de mises Ă  jour avant d’évoquer un « incident » affectant plusieurs de ses services dont la fonction calendrier ainsi que les notifications d’emails.

    PrÚs de 15 000 problÚmes ont été reportés au plus haut de la panne, selon les données collectées par Downdetector.

    L’incident a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© rĂ©solu aux alentours de 21h, heure française. L’entreprise a annoncĂ© communiquer prochainement sur les raisons de cette coupure gĂ©nĂ©rale.

    L’entreprise avait dĂ©jĂ  connu une coupure gĂ©nĂ©rale de ses services pendant quelques heures en juin 2019, a rapportĂ© Cnet.

    L’entreprise a Ă©tĂ© rachetĂ©e en dĂ©cembre dernier par Salesforce pour 27,7 milliards de dollars pour ĂȘtre intĂ©grĂ©e Ă  l’interface de Salesforce Customer 360, aprĂšs une augmentation massive de ses utilisateurs Ă  la faveur des diffĂ©rents confinements ordonnĂ©s pour lutter contre la crise du coronavirus.

  • Salesforce en discussion pour racheter Slack

    Le gĂ©ant du CRM nĂ©gocierait l’acquisition de la plateforme collaborative, une opĂ©ration qui lui coĂ»terait au bas mot 17 milliards de dollars. Salesforce, Ă  chaque acquisition et lancement de nouveaux services, se trouve un peu plus en concurrence avec Microsoft : un rachat de Slack porterait cette rivalitĂ© Ă  son summum.  Salesforce a longtemps Ă©tĂ© dĂ©fini par son cƓur de mĂ©tier, le CRM, et plus largement la relation client. Pourtant, le gĂ©ant s’est considĂ©rablement diversifiĂ©, gĂ©nĂ©ralement Ă  grands coups de rachats. De Mulesoft, dans l’agrĂ©gation et la gestion de donnĂ©es, Ă  Tableau, pour l’analyse desdites donnĂ©es, en passant par Tempo ou Vlocity, Salesforce a considĂ©rablement gagnĂ© en puissance depuis 2015, un temps oĂč justement la rumeur vendait Salesforce Ă  SAP, Oracle ou Microsoft.  Or le gĂ©ant du CRM s’est imposĂ© de plus en plus ces derniĂšres annĂ©es comme un concurrent de ce dernier. Entre Redmond et Salesforce, le torchon brĂ»le, d’autant que tous deux avaient des vues sur LinkedIn, sur lequel Microsoft a finalement mis la main non sans que Marc Benioff ne fasse tout son possible pour empĂȘcher cette opĂ©ration. Les relations entre les deux gĂ©ants ne vont pas aller en s’amĂ©liorant si une information du Wall Street Journal devait ĂȘtre confirmĂ©e : Salesforce serait en discussion pour s’offrir Slack, le principal concurrent de Microsoft Teams. 

    Une annonce Ă  venir

    AprĂšs le rachat de Vlocity en fĂ©vrier, Marc Benioff prĂ©cisait pourtant qu’aucune autre acquisition majeure n’était prĂ©vue Ă  court terme. Le temps sans doute de digĂ©rer Tableau. Mais la crise sanitaire a probablement changĂ© la donne puisque les solutions collaboratives ont depuis pignon sur rue, les entreprises recourant massivement au tĂ©lĂ©travail. Mais si Slack a pu gagner des utilisateurs, son cours en bourse n’a pas grimpĂ© en flĂšche comme un Zoom. Permettant Ă  Salesforce de potentiellement s’autoriser un rachat sans avoir Ă  offrir aux actionnaires de Slack une plus-value dĂ©mesurĂ©e.   Toutefois, l’opĂ©ration sera l’une des plus coĂ»teuses pour le gĂ©ant du CRM : Slack vaut 17 milliards de dollars. Selon le Wall Street Journal, qui prĂ©cise que les nĂ©gociations peuvent encore tomber Ă  l’eau, une annonce pourrait ĂȘtre faite dans les prochains jours, lors de la publication des rĂ©sultats trimestriels de Salesforce par exemple. 
  • Salesforce rachĂšte Slack pour 27,7 milliards de dollars

    Le gĂ©ant du CRM officialise le rachat de la plateforme collaborative, dĂ©boursant dans le processus 27,7 milliards de dollars (environ 60% en cash et 40% en actions Salesforce). Slack sera intĂ©grĂ© Ă  tous les Ă©tages de Salesforce Cloud, et en particulier Ă  Customer 360 dont il deviendra la nouvelle interface.  C’est fait ! l’information, annoncĂ©e dans un premier temps par le Wall Street Journal, vient d’ĂȘtre officialisĂ©e par Salesforce au moment de la publication de ses rĂ©sultats financiers et Ă  la veille de l’ouverture de sa confĂ©rence (virtuelle) Dreamforce. Le gĂ©ant du CRM rachĂšte Slack pour 27,7 milliards de dollars. “C’est une alliance parfaite. Ensemble, Salesforce et Slack vont façonner l’avenir des logiciels d’entreprise et transformer la façon dont chacun travaille dans le monde entiĂšrement numĂ©rique et de n’importe oĂč” se rĂ©jouit Marc Benioff, le PDG de Salesforce.  Stewart Butterfield, CEO et co-fondateur de Slack, renchĂ©rit : “Alors que les logiciels jouent un rĂŽle de plus en plus critique dans la performance de chaque organisation, nous partageons une vision d'une complexitĂ© rĂ©duite, d'une puissance et d'une flexibilitĂ© accrues, et finalement d'un plus grand degrĂ© d'alignement et d'agilitĂ© organisationnelle. Personnellement, je pense qu’il s’agit de la combinaison la plus stratĂ©gique de l’histoire des logiciels, et j’ai hĂąte de commencer”.  

    Intégration à Customer 360

    La transaction, en vertu de laquelle Salesforce offre 26,79 dollars en numĂ©raire et 0,0776 action aux actionnaires de Slack, soit un bonus de 55% par rapport au cours actuel de la plateforme collaborative, a Ă©tĂ© approuvĂ©e par les deux directions et devrait ĂȘtre bouclĂ©e dans les neuf prochains mois. A condition bien entendu que les actionnaires de Slack suivent le mouvement. Le gĂ©ant du CRM explique avoir sĂ©curisĂ© 55% des droits de vote au conseil d’administration de Slack et qu’il financera l’opĂ©ration en contractant un nouvel emprunt et sur sa trĂ©sorerie.   Slack sera intĂ©grĂ© Ă  l’ensemble des couches de Salesforce Cloud, et en particulier deviendra l’interface de Salesforce Customer 360. “Slack transformera la façon dont les gens communiquent, collaborent et agissent sur les informations client dans Salesforce ainsi que sur les informations de toutes leurs autres applications et systĂšmes d'entreprise pour ĂȘtre plus productifs, prendre des dĂ©cisions plus intelligentes et plus rapides et crĂ©er des expĂ©riences client connectĂ©es” souligne le gĂ©ant du CRM dans son communiquĂ©.  

    Butterfield reste aux commandes 

    Salesforce ne se montre pas particuliĂšrement expansif sur ces intĂ©grations, on peut espĂ©rer qu’il abordera ce point lors de sa confĂ©rence Dreamforce. Il prĂ©cise nĂ©anmoins que Slack deviendra une unitĂ© opĂ©rationnelle de Salesforce et que Stewart Butterfield restera aux manettes. “Ensemble, Salesforce et Slack crĂ©eront le plus vaste Ă©cosystĂšme ouvert d'applications et de flux de travail pour les entreprises et permettront Ă  des millions de dĂ©veloppeurs de crĂ©er la prochaine gĂ©nĂ©ration d'applications, avec des clics et non du code” ajoute Salesforce. On attend dĂ©sormais la rĂ©action de Microsoft, que l’entreprise de Marc Benioff vient encore un peu plus concurrencer frontalement.
  • Slack ajoute une fonction liste pour la gestion de projet

    La suite collaborative dans le giron de Salesforce Ă©tend ses capacitĂ©s avec l’ajout d’une fonction de listes pour gĂ©rer les projets.

  • Slack Connect : des DM mĂȘme en dehors de l’entreprise

    Slack a bien compris que ce n’est pas demain qu’il parviendra Ă  enterrer le mail. Mais ce n’est pas faute d’essayer. Avec sa nouvelle fonctionnalitĂ© Slack Connect, l’éditeur permet aux Ă©quipes d’échanger des messages privĂ©s avec leurs partenaires externes. Et revĂȘtira Ă  terme des aspects similaires Ă  un LinkedIn. 

    Si Slack entendait au dĂ©but de son histoire se substituer au mail, force est de constater qu’il lui reste un long chemin Ă  parcourir pour atteindre cet objectif. L’outil collaboratif a d’ailleurs lĂ©gĂšrement dĂ©viĂ© de sa trajectoire, que ce soit par le biais d’intĂ©grations de clients de courriels ou par des rachats. NĂ©anmoins, il ne dĂ©sespĂšre pas d’y parvenir.

    C’est d’ailleurs le sens qu’il donne Ă  sa derniĂšre fonctionnalitĂ© en date, Slack Connect. Celle-ci est “conçue pour remplacer vos Ă©changes par e-mails avec vos partenaires externes” Ă©crit l’entreprise dans un communiquĂ©. Dans les faits, ce nouvel outil reprend les mĂȘmes fonctions que les messages directs, ou DM, dĂ©jĂ  prĂ©sents dans Slack qui permettent aux collaborateurs d’échanger de maniĂšre privĂ©e (entendre en dehors des channels). 

    Collaboration en dehors de l’entreprise

    DĂ©sormais, ces messages privĂ©s sortent de l’entreprise puisque les utilisateurs payants de Slack pourront employer Slack Connect pour Ă©changer en dehors des frontiĂšres de leur entreprise, avec leurs partenaires externes, sous-traitants ou encore clients. Ce sont 74 000 clients payants qui pourront Ă©changer entre eux. “MĂȘme s’il est possible d’offrir un accĂšs Ă  des canaux spĂ©cifiques avec les solutions actuelles, elles se limitent Ă  connecter des individus, et non les entreprises, dans un lieu centralisĂ©â€ explique Slack. 

    Slack Connect permet d’ores et dĂ©jĂ  jusqu’à vingt entreprises de collaborer dans un espace centralisĂ©, par le biais de messages directs. À terme, Slack entend dĂ©velopper ce nouvel outil pour crĂ©er un rĂ©seau professionnel privĂ© par le biais de rĂ©pertoires centralisĂ©s, de gestion des canaux et autres, qui seront disponibles en cours d’annĂ©e. 

  • Slack rĂ©invente la machine Ă  cafĂ©

    L'éditeur de solutions collaboratives et de communications a profité d'un événement virtuel pour présenter différentes nouveautés dont Huddles, un outil de conversation informelle entre collÚgues.

    Pour aider les entreprises Ă  recrĂ©er en ligne ces moments de discussions informelles qui crĂ©ent bien souvent du lien dans les Ă©quipes, Slack propose maintenant Huddles, un outil d'appels d'Ă©quipe pour avoir des conversations audio en direct. Par un clic dans l'interface, il est possible de lancer un appel d’équipe dans n’importe quel canal ou message direct, y compris ceux partagĂ©s avec des membres externes Ă  votre entreprise. Tout le monde dans le canal peut alors y prendre part ou non, comme lors de ces Ă©changes informels au bureau. Les appels d’équipe Slack sont conçus pour discuter rapidement d’un sujet compliquĂ©, sans avoir Ă  coordonner les emplois du temps au prĂ©alable et sans devoir activer la webcam. Vous pouvez Ă©galement partager votre Ă©cran pendant un appel d’équipe pour montrer un nouveau design, une prĂ©sentation ou tout autre document pertinent.

    Des réunions asynchrones

    Pas toujours facile de coordonner tout le monde pour une rĂ©union. Slack a ajoutĂ© une possibilitĂ© de partager des idĂ©es par un enregistrement vidĂ©o que tout le monde peut consulter, et Ă  tout moment, selon son propre emploi du temps. Une nouvelle fonctionnalitĂ© de visionnage amĂ©liorĂ©e permet d’augmenter ou de rĂ©duire la vitesse de lecture d’une vidĂ©o, d’en consulter une transcription, ou de la visionner depuis votre tĂ©lĂ©phone. Cette option s’applique aussi aux vidĂ©os de partenaires externes. Les enregistrements effectuĂ©s sont archivĂ©s avec des transcriptions consultables, ce qui vient enrichir les ressources internes de votre entreprise. Conçus pour ĂȘtre inclusifs, les appels d’équipe et les enregistrements seront sous-titrĂ©s en direct afin que chacun puisse prendre part Ă  la conversation.

    De plus les envois pour des enregistrements vidéos, audios ou de captures d'écrans sont maintenant programmables. Une fonction d'annuaire d'entreprise, Slack Atlas, est désormais disponible. Huddles et les fonctions de réunions asynchrones seront disponibles pour les versions payantes. Seule la fonction de programmation des envois sera disponible pour toutes les versions.

    Une vue de Huddles.
  • Slack renie sa nouvelle fonctionnalitĂ© de DM dĂšs son lancement

    Slack Connect a Ă©tĂ© retirĂ© quelques heures Ă  peine aprĂšs avoir Ă©tĂ© lancĂ©. La faute Ă  une fonctionnalitĂ© qui permettait de harceler d'autres utilisateurs sans que ceux-ci ne puissent rien y faire. 

    La fonctionnalitĂ© n'Ă©tait pas mal faite en soi. Point de bug qui venait empĂȘcher son utilisation ni ouvrir une faille de sĂ©curitĂ©. Peut-ĂȘtre Slack Connect a-t-elle tout simplement Ă©tĂ© mal pensĂ©e. Quelques heures aprĂšs le lancement de cette fonction permettant d'envoyer des DMs (messages privĂ©s) Ă  des personnes en dehors des channels de l'entreprise, Slack a fait volte-face et l'a retirĂ©e de sa plateforme collaborative. 

    En effet, dans la foulée du lancement de Slack Connect, des utilisateurs se sont amusés à tester les limites de la fonctionnalité, constatant qu'il n'y en avait... aucune. Pour mémoire, le service permettait aux abonnés payants d'inviter tout autre utilisateur Slack à une conversation privée, accompagnant leurs invitations d'un message personnalisable. Or le message d'invitation est affiché dans son intégralité dans Slack et dans le mail d'invitation afférent et il n'existe aucun moyen simple de bloquer l'expéditeur d'un DM.

    Spam

    Ce qui, selon un utilisateur sur Twitter, permet facilement de harceler d'autres personnes sur Slack, en envoyant notamment des messages d'invitation insultants ou publicitaires, encore et encore, sans que la victime ne puisse rĂ©agir. Et mĂȘme dans le cas oĂč l'administrateur a paramĂ©trĂ© Slack de telle sorte que ses Ă©quipiers ne puissent accepter d'invitation extĂ©rieure, le message est tout de mĂȘme reçu. En d'autres termes, Slack venait d'intĂ©grer le spam Ă  sa plateforme. 

    Ni une ni deux, l'Ă©diteur a fait machine arriĂšre et dĂ©cidĂ© de retirer Slack Connect de l'application. « Nous prenons des mesures immĂ©diates pour empĂȘcher ce type d'abus, Ă  commencer par la suppression aujourd'hui de la possibilitĂ© de personnaliser un message lorsqu'un utilisateur invite quelqu'un Ă  rejoindre les DM de Slack Connect », explique Jonathan Prince, vice-prĂ©sident Communications and Policies chez Slack. « Nous avons commis une erreur lors de ce dĂ©ploiement initial qui est incompatible avec nos objectifs pour le produit et l'expĂ©rience typique de l'utilisation de Slack Connect ».

  • Slack intĂšgre Stripe

    L’éditeur de solutions collaboratives ajoute la plate-forme de paiement en ligne pour simplifier l’expĂ©rience des utilisateurs. Les diffĂ©rentes pĂ©riodes de confinement et le recours au tĂ©lĂ©travail ont vite confirmĂ© que des fonctions comme le paiement dĂ©matĂ©rialisĂ© et la signature Ă©lectronique Ă©taient des fonctions importantes pour la continuation de l’activitĂ© des entreprises. Pour simplifier et amĂ©liorer l’expĂ©rience des utilisateurs de sa plateforme, Slack intĂšgre maintenant l’application de paiement de Stripe. La solution est dĂ©ployĂ©e dans 15 pays en utilisant les mĂ©thodes de paiements les plus usuelles de chaque pays. De plus la solution Sigma de Stripe fournit des rapports aux Ă©quipes comptables de Slack pour rĂ©pondre aux questions des utilisateurs sur leurs paiements et le temps de dĂ©veloppement des requĂȘtes sur l’usage par les utilisateurs.
  • Slack repousse les frontiĂšres de la collaboration

    Une vue de l'outil pour crĂ©er des Ă©tapes dans le modeleur de workflow de Slack. Slack a tenu rĂ©cemment sa confĂ©rence virtuelle Frontiers et a proposĂ© de nombreuses innovations qui visent Ă  Ă©tendre le champ de la collaboration au-delĂ  des frontiĂšres de l’entreprise. Slack a une cible : le mail. Pour le remplacer l’éditeur mise sur ses canaux de communications, les channels qui apportent selon lui des hausses de productivitĂ© (31 %), une baisse importante du nombre de mails (45%) et des rĂ©unions (21%). Lors de son Ă©vĂ©nement clients et partenaires Slack a donc dĂ©fendu sa vision de la collaboration et de sa maniĂšre de relier les gens dans leur travail. Cet effort d’évangĂ©lisation s’est rĂ©cemment Ă©tendu Ă  la crĂ©ation d’un consortium, le Future Forum, pour accompagner les entreprises dans leur transformation vers la nouvelle Ă©conomie numĂ©rique. Plus concrĂštement Slack a prĂ©sentĂ© de nouvelles fonctionnalitĂ©s qui Ă©toffent cette vision autour des Channels avec Slack Connect qui sera disponible au dĂ©but de l’annĂ©e prochaine. La fonction permet de crĂ©er des espaces de discussion entre diffĂ©rentes entreprises. Des invitations permettent d’étendre cette fonction Ă  des individus. Il est possible de crĂ©er une liste blanche des entreprises et les administrateurs pourront automatiquement approuver des requĂȘtes de partage de canaux dans le but de renforcer et d’assurer la sĂ©curitĂ© des Ă©changes. Autre innovation importante, la solution amĂ©liore son modeleur de workflow en y ajoutant un outil qui permet de suivre les Ă©tapes du workflow et d’y intĂ©grer des applications utilisĂ©es en dehors de Slack. La solution a dĂ©jĂ  ce type d’intĂ©gration avec PagerDuty ou Datadog. Un mode socket permettra aux dĂ©veloppeurs de mettre en place une connexion WebSockets pour exploiter toutes les capacitĂ©s des API Slack sans avoir Ă  exposer de points de terminaison HTTP publics. De plus les administrateurs vont pouvoir d’ici la fin de l’annĂ©e dĂ©ployer des applications dans l’ensemble des espaces de travail dans l’entreprise.

    Des prototypes pour communiquer demain !

    Il a aussi Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© deux prototypes, un audio et un vidĂ©o, pour autoriser les utilisateurs Ă  envoyer des messages asynchrones sous forme de petit fichier audio ou vidĂ©o comme les « Stories » que l’on peut trouver dans d’autres solutions de rĂ©seaux sociaux ou de collaboration. Slack a prĂ©cisĂ© que ces prototypes n’avaient pas forcĂ©ment vocation Ă  rejoindre la plate-forme de l’éditeur mais qu’ils reprĂ©sentaient des pistes possibles pour l’avenir.
  • Troops va renforcer Slack

    Slack, dans le giron de Salesforce, va reprendre Troops.AI et l’intĂ©grer dans sa plate-forme.