Slack a mandaté l'institut Wakefield Research pour interroger 3 000 professionnels utilisant un outil collaboratif tel que Slack ou Teams, aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, au Japon et en Australie. Plus d’un tiers des utilisateurs (36%) préférerait se passer des e-mails plutôt que des messageries professionnelles comme Slack ou Teams.
Allons-nous vers la disparition de l'e-mail ? Selon le sondage de Wakefield Research pour Slack, 60% des décideurs informatiques français pensent qu'une autre forme de communication numérique remplacera complètement l’e-mail dans les 3 ans et près d'un sur dix (9%) estime que c’est déjà le cas aujourd'hui.
Plus de productivité
D'autres chiffres de l'étude prêchent pour la chapelle de Slack dont le but originel était de supplanter les messageries électroniques classiques. Ainsi, si les utilisateurs comprennent que Slack et Microsoft Teams sont des outils pour des tâches différentes, l’enquête fait également ressortir que 79% des utilisateurs déclarent que les plateformes de communication d'entreprise sont très ou extrêmement importantes pour mener à bien leur travail, une déclaration encore plus majoritaire chez les utilisateurs de Slack (88%) contre 71% des utilisateurs de Teams.
Et pour cause ! Les utilisateurs qui privilégient l‘usage de la plateforme de messagerie professionnelle par conversation sur l’historique e-mail gagnent l’équivalent de 7,5 heures sur une semaine de travail, soit pratiquement une journée supplémentaire chaque semaine.
Pour les utilisateurs de Slack, 40% des réunions téléphoniques ou en vidéo auraient pu être remplacées par des messages Slack. Ce n'est pas prêt de changer. 100% des utilisateurs de Slack veulent continuer à l'utiliser même après la pandémie, notamment pour collaborer au moment qui leur convient le mieux (34%), améliorer l'alignement entre les équipes (34%) et accroître la productivité individuelle (33%).