Delphine Legoherel a été nommée directrice de l'exercice des droits et des plaintes le 1er janvier 2025. Victor Nicolle prendra, quant à lui, le poste de directeur des contrôles et des sanctions à partir du 13 janvier 2025.
Le patron de Telegram, Pavel Durov, a été interpellé en France en août dernier et mis en examen. Il lui est reproché, entre autres, d’avoir refusé par le passé de communiquer des informations et documents concernant des activités criminelles hébergées sur son application.
Les deux entreprises ont conclu une « alliance stratégique » pour fournir une gamme élargie de solutions de cybersécurité comprenant des produits MDR, EDR, de sécurité offensive, DFIR, et de renseignement.
La CNIL a estimé que Ledger n’avait pas mis en place les mesures adéquates pour protéger les données de ses utilisateurs.
Valorisée à plus de 4 milliards de dollars, Armis entend soutenir le développement de ses produits ainsi que leur mise sur le marché.
Nomios a annoncé, jeudi 24 octobre, l'acquisition de Dionach afin de renforcer son offre de services en cybersécurité.
Réunies à Rome du 7 au 11 octobre, les autorités européennes de protection des données personnelles des pays du G7 ont adopté une position commune sur leur rôle dans la promotion de l’intelligence artificielle.
IBM et son partenaire Hello Charly ont lancé leur expérimentation le 5 octobre dernier et espèrent former jusqu’à 600 personnes.
Avec ces nouveaux fonds, Stoïk entend soutenir le développement de son modèle atypique, à la fois assureur et éditeur de solutions de cybersécurité managées.
Lors des Assises de la Cybersécurité, Vincent Strubel, président de l'ANSSI, a souligné les succès notables dans la lutte contre les cybermenaces pendant les Jeux Olympiques de Paris 2024. Avec un bilan positif, marqué par une mobilisation collective, il a mis en avant l'importance de poursuivre les efforts pour renforcer la cybersécurité à tous les niveaux et implémenter rapidement les exigences des directives et règlements à venir.
Telegram fournira les adresses IP et les numéros de téléphone de ses utilisateurs en cas de requêtes légales « valides ».
Poussé vers la sortie aux États-Unis, Kaspersky a définitivement plié bagage. Les antivirus de l’éditeur d’origine russe ont été automatiquement désinstallés et remplacés par UltraAV, propriété de Pango, à qui Kaspersky a vendu sa base de données clients.
