Cyberattaque : LâEurope dĂ©ploie son bouclier
Ce bouclier Ă 1 milliard d'euros doit renforcer les capacitĂ©s des Ătats membres Ă se prĂ©parer, prĂ©venir, rĂ©agir et collaborer en cas de cyberattaques ou d'incidents majeurs.
Ce bouclier Ă 1 milliard d'euros doit renforcer les capacitĂ©s des Ătats membres Ă se prĂ©parer, prĂ©venir, rĂ©agir et collaborer en cas de cyberattaques ou d'incidents majeurs.
Netskope tire les conclusions des implications cyber de la situation gĂ©opolitique. En juillet, le nombre de cyberattaques imputables Ă la Russie a drastiquement diminuĂ©, mĂȘme si le cyberespionnage reste constant.
Lâadministration amĂ©ricaine vient dâĂ©mettre un facts sheet appelant les entreprises Ă renforcer sans attendre leur sĂ©curitĂ© informatique. En effet, la Maison Blanche dit sâattendre Ă des cyberattaques imminentes en provenance de Russie.
Tant que la Russie nâa pas quittĂ© lâinternet mondial, les Russes peuvent utiliser un VPN pour contourner la censure. Mais la chose n'est pas si simple.
Le groupe d'hacktivistes Anonymous a annoncé mercredi dernier avoir piraté une base de données de Roskomnadzor, le service fédéral russe de supervision des communications, des technologies de l'information et des médias de masse. Résultat : 820 Go de data subtilisés.
Le régulateur des télécoms russe Roskomnadzor, a déclaré qu'Instagram serait bloqué dans le pays suite aux « appels à la violence » contre les soldats russes.
Que ce soit par dĂ©cision des Ă©metteurs ou parce quâils nâont plus accĂšs aux rĂ©seaux de paiement, un nombre croissant de sites russes sont privĂ©s de certificats TLS. Le gouvernement russe propose donc service national gratuit Ă©mettant ses propres certificats⊠que seuls Yandex et Atom acceptent pour le moment.
Guerre en Ukraine : Facebook et Instagram autorisent les messages violents contre l'armée et les dirigeants russes dans certains pays et sous certaines conditions.
Si les exchanges se refusent encore Ă bloquer les utilisateurs russes, Coinbase lui, n'a pas attendu la guerre en Ukraine.
Pavel Durov, cofondateur d'origine russe de l'application de messagerie Telegram assure que les données des utilisateurs ukrainiens sont en sécurité.