Après l’Amérique du Nord et le Royaume-Uni, le Metavers de Meta débarque en France et en Espagne.
A vos casques de VR. Le PDG de Meta (Facebook, Instagram), Mark Zuckerberg, a annoncé le 16 août dernier l’arrivée d’Horizon Worlds en France et en Espagne. Le Metavers sauce Facebook débarque, un peu moins d’un an après son lancement aux Etats-Unis et au Canada.
Un premier post qui fait sourire
Le patron de Meta s’est dit « impatient de voir les gens explorer et construire des mondes immersifs et de les proposer dans d’autres pays ». Mais voilà, à peine annoncé, déjà critiqué… Le post Facebook (voir photo) de Mark Zuckerberg a été quelque peu raillé. En cause, l’image d'illustration publiée lors de l'annonce le lancement. On y voit l’avatar de Mark Zuckerberg devant la tour Eiffel et la Sagrada Familia (Barcelone), le tout modélisé de façon un peu datée, il faut bien le dire...
Pour tenter de rattraper le coup, Mark Zuckerberg a partagé de nouveaux visuels plus aboutis. Le patron de Meta a également déclaré « avoir pris conscience que la photo partagée plus tôt était assez basique et prise rapidement pour célébrer le lancement de Horizon Worlds ». Et d’ajouter que son Metaverse « s’améliore rapidement ».
Ce que va proposer Horizon World
Les railleries passées, que va proposer le monde virtuel de Meta ? Horizon Worlds constitue les prémices du Metavers que compte développer l’entreprise. Il est accessible aux plus de 18 ans, à l’aide d’un casque de réalité virtuelle Oculus Quest 2. Une version web est également envisagée afin de pouvoir y accéder sans équipement spécifique.
Au même titre que ses concurrents, comme The Sandbox ou Decentraland, à terme Horizon Worlds donnera accès à une multitude de mondes virtuels et des contenus originaux développer par des créateurs. Les utilisateurs pourront également rejoindre des événements, comme des concerts, des spectacles, ou des réunions, accéder à des jeux multi-joueurs, ou encore à divers services de la vie courante, et technologies du web3 comme les tokens non fongibles (NFT) qui feront partie intégrante de ces mondes. Et pour cause, c’est via la vente d’objets numériques que les créateurs, et à plus forte raison Meta, comptent se rémunérer.