L’éditeur de solutions de stockage et de partage de fichiers en ligne vient de mettre sur pied une fondation humanitaire qui aura pour mission de défendre et de promouvoir les droits de l'homme en soutenant des organisations à but non lucratif.
Les 2 fondateurs de Dropbox, Drew Houston et Arash Ferdowsi, ont été convaincu par le travail des clients de Dropbox qu’il fallait les aider encore mieux que par le simple partage d’information sur le terrain ce que réalisait Dropbox jusqu’à présent. A cette fin, il lance une fondation qui a pour but selon le texte d’un message conjoint à « en faire plus, en particulier au profit des organisations qui luttent pour l'égalité des chances, les libertés fondamentales et l'accès aux biens de première nécessité ».
2 formes d’aides
La première forme viendra par « des dons libres d'affectation que ses partenaires pourront utiliser à leur guise. Ces organisations savent mieux que quiconque quels sont les besoins les plus urgents ». Le deuxième type d’aide passera par le bénévolat de volontaires chez Dropbox. La fondation est financée par les deux fondateurs et par Dropbox pour un montant de 20 millions de dollars. Ces sommes seront accrues à l’avenir. La fondation sera placée sous l'autorité d'un comité composé de cadres dirigeants Dropbox, dont Dennis Woodside (directeur des opérations), Bart Volkmer (directeur juridique) et Amber Cottle (vice-présidente en charge de la politique publique et des affaires gouvernementales), mais aussi de quatre directeurs indépendants de la Silicon Valley Community Foundation.
4 projets ont déjà été récompensés pour cette première promotion : goal, un projet en Irlande qui aide les plus démunis au niveau local, un projet à San Francisco qui aide les jeunes sans domicile fixe à se reconstruire en sortant de l’exclusion par le logement en développant leurs compétences, un projet anglais qui supporte les enfants victimes de conflits, et un projet new-yorkais qui exploite la puissance de la vidéo et de la technologie pour aider les activistes du monde entier à documenter les violations des droits fondamentaux et à diffuser leurs preuves de la manière la plus sûre, la plus éthique et la plus efficace qui soit.