Après les révélations de plusieurs médias quant à l’existence chez le géant de l’agro-chimie d’un fichier contenant les données personnelles de 200 personnes utilisé à des fins de lobbying, la Cnil a mené l’enquête. Et reconnait aujourd’hui Monsanto coupable d'avoir enfreint le RGPD en sa qualité de responsable de traitement.