Capgemini

  • Bleu prend de la couleur !

    Orange et Capgemini entame les opĂ©rations commerciales de leur co-entreprise Bleu qui s’appuie sur les technologies de Microsoft pour fournir des environnements Cloud.

  • Bleu sera opĂ©rationnel en 2024

    Cap Gemini et Orange ont fait le point sur la feuille de route de leur Cloud de confiance , Bleu, qui s’appuie sur les technologies de Microsoft.

  • CapGemini accompagne les entreprises avec "sustainable IT"

    L'ESN lance une nouvelle offre de service pour aider les organisations Ă  rĂ©duire l’empreinte carbone de leur informatique.

    L'informatique gĂ©nĂšre 4% des Ă©missions mondiales de COÂČ et ce chiffre aura triplĂ© entre 2010 et 2025. Selon un rapport du Capgemini Research Institute, 61% des entreprises ayant Ă©tabli une feuille de route complĂšte pour accĂ©lĂ©rer la mise en Ɠuvre de l'informatique durable ont amĂ©liorĂ© leurs rĂ©sultats. 56% ont vu la satisfaction de leurs clients augmenter, et 44% ont rĂ©alisĂ© des Ă©conomies d'impĂŽts. En outre, les entreprises qui ont dĂ©jĂ  mis Ă  l'Ă©chelle des cas d’usage d'informatique durable ont rĂ©alisĂ© des Ă©conomies de coĂ»ts de 12% en moyenne.

    Une offre sur différents axes

    DĂ©jĂ  utilisĂ©e avec plusieurs clients dans les secteurs de la banque et de l'assurance, des services publics, de l'industrie, et de l'Ă©nergie, la nouvelle offre de Capgemini propose une analyse qualitative et quantitative de l'impact environnemental de l'informatique d’entreprise. L'analyse quantitative s’appuie sur la mĂ©thodologie ‘Life Cycle Assessment’ (Ă©valuation du cycle de vie) couvrant l'impact environnemental du parc informatique, des infrastructures, des applications et des donnĂ©es.

    Tirant parti de 50 leviers prĂ©-identifiĂ©s pour rĂ©duire les Ă©missions de carbone que gĂ©nĂšre l'informatique d'entreprise, le plan accompagne les entreprises dans une transformation durable. Un ensemble d’outils d'engagement et de programmes de formation sont lĂ  pour faire Ă©voluer les habitudes de consommation informatique et les modes de travail des collaborateurs de l’entreprise. Le service propose aussi l'exploitation de nouvelles technologies comme l'Internet des objets (IoT), la rĂ©alitĂ© augmentĂ©e (AR), la rĂ©alitĂ© virtuelle (VR) et l'analyse de donnĂ©es pour relever les dĂ©fis environnementaux d'une organisation.

  • Capgemini et Mistral AI partenaires

    Les deux entreprises ont signĂ© un accord de partenariat pour simplifier et accĂ©lĂ©rer les dĂ©ploiements de l’intelligence artificielle gĂ©nĂ©rative dans les entreprises.

  • Capgemini finalise le rachat de Syniti

    L’ESN a obtenu toutes les autorisations rĂ©glementaires pour finaliser son opĂ©ration.

  • Capgemini lance des services d’ingĂ©nierie augmentĂ©e

    Capgemini Ă©largit son portefeuille de services enrichies d'IA gĂ©nĂ©rative (Gen AI) avec le lancement de solutions « Augmented Engineering Â» dĂ©diĂ©es Ă  l'ingĂ©nierie et Ă  la R&D.

  • Capgemini lance un nouveau laboratoire sur la 6G

    L’ESN a annoncĂ© le lancement d’un laboratoire sur la 6G Ă  Gurugram en Inde.

  • Capgemini partenaire de Tehtris sur le XDR

    L’ESN et l’éditeur d’EDR annoncent la signature d’un accord de partenariat. Lequel se concrĂ©tise par une offre commune mĂȘlant dĂ©tection et rĂ©ponse aux menaces, protection des postes de travail et services d’analyse et de remĂ©diation.

    Le temps est Ă  la coopĂ©ration dans le petit milieu français de la cybersĂ©curitĂ©. Dernier exemple en date, Capgemini annonce un partenariat avec Tehtris. Cette jeune pousse fondĂ©e en 2010 a mis au point une plateforme XDR, pour eXtended Detection & Response, version survitaminĂ©e de l’EDR traditionnel. C’est sur cette solution que repose le partenariat entre l’ESN et l’éditeur.

    Tous deux s’associent donc pour proposer « un ensemble d’outils et de fonctionnalitĂ©s destinĂ©s Ă  dĂ©tecter et bloquer les activitĂ©s malveillantes les plus sophistiquĂ©es ». Ce qui recouvre la plateforme XDR de Tehtris et les services d’analyses et de remĂ©diation de Capgemini. Soit des agents EDR, pour la dĂ©tection et la neutralisation des menaces pesant sur les postes de travail, associĂ©s Ă  un SIEM (Security Information and Event Management) pour la surveillance du SI.

    Tiers de confiance

    Capgemini y ajoute sa couche de supervision et de dĂ©tection. « La collaboration entre Capgemini et TEHTRIS a dĂ©butĂ© en 2020 et s’est avĂ©rĂ©e trĂšs vite extrĂȘmement riche et dynamique. DĂ©jĂ  opĂ©rateur de nombreux Cyber Defense Centers pour de grands clients, qualifiĂ© Prestataire de dĂ©tection d’incidents de sĂ©curitĂ© (PDIS) par l’ANSSI, nous accĂ©lĂ©rons ainsi fortement la croissance de nos services managĂ©s de dĂ©tection et de rĂ©ponse Ă  incident Â» explique Mathieu Morel, directeur de la division CybersĂ©curitĂ© chez Sogeti, filiale de Capgemini.

    « C’est pour nos clients communs un gage de confiance et de souverainetĂ© europĂ©enne. Nous partageons avec les Ă©quipes de Capgemini et Sogeti la mĂȘme prioritĂ© : assurer un dĂ©ploiement des produits TEHTRIS et une surveillance des parcs de maniĂšre fluide et directement opĂ©rationnelle Â» abonde la cofondatrice et CEO de Tehtris, ElĂ©na Poincet.

  • Capgemini partenaire de Tehtris sur le XDR

  • Capgemini va reprendre Quantmetry

    Capgemini a signĂ© un accord pour la reprise de l’activitĂ© de Quantmetry, un cabinet de conseil spĂ©cialisĂ© dans la modĂ©lisation mathĂ©matique des donnĂ©es et le dĂ©veloppement de solutions technologiques d'intelligence artificielle (IA).

  • ChapsVision et Capgemini partenaires

    Les deux entreprises se rapprochent pour aider les entreprises en matiÚre d'analyse de leurs données hétérogÚnes dans un cadre de confiance et souverain.

  • Sanofi, Capgemini, Orange et Generali s’allient pour crĂ©er un accĂ©lĂ©rateur e-santĂ©

    La nouvelle entitĂ© en cours de crĂ©ation proposera un support numĂ©rique puis humain, Ă  Paris, pour accompagner les start-ups de la santĂ© digitale. 24 millions d’euros de budget devraient ĂȘtre mobilisĂ©s pour accompagner la healthtech.

    Qu’ont en commun un assureur, un laboratoire pharmaceutique, un opĂ©rateur tĂ©lĂ©phonique et une entreprise de services numĂ©riques ? Un intĂ©rĂȘt partagĂ© pour le dĂ©veloppement de la santĂ© digitale.

    Sanofi, Capgemini, Generali et Orange vont créer une société commune en France dont le but est de rassembler des expertises des mondes de la santé et de la technologie au service de la santé digitale, ont-ils annoncé lundi 25 janvier.

    « Nous sommes convaincus que la France, et plus largement l’Europe, disposent de tous les atouts nĂ©cessaires pour figurer au premier rang des acteurs mondiaux de l’innovation en santĂ© numĂ©rique. Ce projet est la pierre angulaire de l’écosystĂšme ouvert autour du digital et de la data en santĂ© que nous souhaitons bĂątir avec nos partenaires Â»,a indiquĂ© Paul Hudson, directeur gĂ©nĂ©ral de Sanofi.

    Une initiative de Sanofi

    La sociĂ©tĂ© – dont le nom n’a pas encore Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© - est une initiative de Sanofi qui vise Ă  fournir un environnement Ă  plus d’une centaine de start-ups dans le domaine de la healthtech. Une plateforme numĂ©rique pour stimuler l'innovation et organiser des hackathons sera disponible Ă  l’horizon juin 2021 avant une implantation physique avec FabLab et DataLab dans un lieu au cƓur de Paris, prĂ©vue pour dĂ©cembre 2021. La sociĂ©tĂ© travaillera avec l’initiative « PariSantĂ© Campus Â» et ambitionne de renforcer le positionnement international de la France en santĂ© digitale. Un premier investissement de 24 millions d’euros est prĂ©vu.

    « Le dĂ©veloppement des solutions se concentrera sur des thĂšmes ciblĂ©s pour une ou deux annĂ©es et pourra s’articuler autour d’une technologie, d’une pathologie, d’une population de patients ou ĂȘtre en lien avec un sujet de santĂ© publique.» La feuille de route reste donc assez floue pour le moment.

    « On met en place un Ă©cosystĂšme cross-secteur avec un leader mondial de la santĂ©, un leader mondial des tĂ©lĂ©coms, un groupe d’assureur et une sociĂ©tĂ© de services en technologie. Et cette approche trans-sectorielle est Ă  la fois originale et source d’une richesse qui va ĂȘtre trĂšs intĂ©ressante Ă  voir dans les mois Ă  venir Â», a dĂ©clarĂ© Cyril François, directeur des opĂ©rations de Capgemini Invent Ă  L’Informaticien.

    La nouvelle entitĂ© ne sera pas un hĂ©bergeur de donnĂ©es de santĂ©, a prĂ©cisĂ© Isabelle Vitali, directrice de l’opĂ©ration digitale chez Sanofi, ajoutant qu’un sociĂ©tĂ© comme Orange pourra partager son expertise en cybersĂ©curitĂ© avec certaines des start-ups.

  • Une nouvelle application pour la supervision du rĂ©seau de la SNCF

    Avec Capgemini, SNCF RĂ©seau revoit la supervision et la maintenance de son rĂ©seau ferrĂ© pour optimiser sa performance et faire face au dĂ©fi de la mobilitĂ© de ses Ă©quipes. Le rĂ©seau de 30000 km de SNCF RĂ©seau est tĂ©lĂ©surveillĂ© et suivi en permanence afin de dĂ©tecter d’éventuelles dĂ©faillances techniques au niveau des voies, de la signalisation, des catĂ©naires, des passages Ă  niveaux ou encore des aiguillages. Jusqu’à prĂ©sent l’ensemble Ă©tait suivi par diffĂ©rentes applications. Le transporteur a dĂ©cidĂ© d’unifier l’outil dans une application mobile fournissant une localisation gĂ©ographique prĂ©cise des incidents en temps rĂ©el. Le logiciel a aussi pour but d’amĂ©liorer l’information des voyageurs et d’amĂ©liorer la rĂ©gularitĂ© des circulations. NommĂ© « Supervision Nouvelle GĂ©nĂ©ration » la solution est utilisĂ©e sur la rĂ©gion Auvergne-RhĂŽne-Alpes depuis juillet dernier et va ĂȘtre Ă©tendue nationalement dans les deux annĂ©es Ă  venir. En cas d’alĂ©as, l’application communique en temps rĂ©el les donnĂ©es relatives Ă  l’opĂ©ration de maintenance concernĂ©e (dĂ©lais d’acheminement, heures d’arrivĂ©e sur place, dĂ©lais d’intervention, etc.). Ces informations sont instantanĂ©ment mises Ă  disposition des opĂ©rateurs ferroviaires qui peuvent ainsi informer au mieux les voyageurs.  L’outil sera commun dans les quatre centres de contrĂŽles du pays. À terme, l’ensemble des donnĂ©es provenant de la surveillance humaine, de la tĂ©lĂ©surveillance ainsi que des trains de surveillance, seront remontĂ©es aux centres de supervision oĂč elles seront collectĂ©es et centralisĂ©es. Plus largement, l’objectif est d’établir un systĂšme d’informations complet sur l’état des infrastructures ferroviaires et d’aide Ă  la dĂ©cision pour la « juste maintenance ».

    Un programme de transformation 

    L’application s’intĂšgre dans le cadre plus large de la transformation numĂ©rique des mĂ©tiers entamĂ©e en 2017 par SNCF RĂ©seau sous le nom de « Surveillance et Supervision ». L’application a Ă©tĂ© conçue entre les Ă©quipes de SNCF RĂ©seau et les Ă©quipes projets de Capgemini en mode agile Ă  partir des besoins des utilisateurs finaux. Elle utilise principalement 3 sources de donnĂ©es : la mesure embarquĂ©e dans les trains techniques, la tĂ©lĂ©surveillance et les capteurs IoT prĂ©sent sur le rĂ©seau, la collecte de donnĂ©es rĂ©alisĂ©es par les agents de circulation ou de maintenance Ă©quipĂ©s de tablettes. Ces donnĂ©es sont centralisĂ©es et exploitĂ©es par les diffĂ©rents agents de maintenance, experts et « data scientists » afin d’anticiper et Ă©viter les pannes mais Ă©galement pour traiter les alarmes remontĂ©es des installations dĂ©fectueuses.   Les premiers essais de traitement avancĂ© de donnĂ©es de surveillance sur l’axe Lyon-Marseille se sont avĂ©rĂ©s concluants par l’analyse fine de l’historique des pannes et l’état des installations pour anticiper et rĂ©aliser une opĂ©ration de maintenance conditionnelle avant l’incident. La solution sera utilisĂ©e Ă  terme par 20 000 personnes.