TSMC

  • La commission européenne réfléchit à un plan sur les semi-conducteurs

    Alors que la pénurie commence à se faire sentir dans toute l'industrie électronique, la Commission Européenne réfléchit à la construction dune usine de semi-conducteurs sur le sol européen pour limiter sa dépendance dans des secteurs comme la 5G, le HPC ou les systèmes embarqués dans les véhicules.

    A l'heure qu'il est on ne sait si le projet prévu débouchera sur un tout nouveau site ou la reconfigurationd'un site existant. Il devrait être capable de fournir des composants en technologie 10nm voir moins (2 nm).

    L'initiative est mené par Thierry Breton. Déjà le géant coréen Samsung et le Taîwanais TSMC, quasiment les deux derniers fondeurs sur la planète, ont été approchés, mais aucun des deux n'a confirmé de discussions. 19 pays auraient déjà rejoint ce plan autour des puces qui pourrait être abondé de près de 30 milliards d'euros en provenance de gouvernements mais aussi d'entreprises privées.

    30 milliards pour des processeurs ? Dossier à suivre !
  • TSMC vers le 2 nm

    Selon Nikei Asia, le fondeur taïwanais a obtenu l'autorisation de créer une usine pour fabriquer des puces en 2 nm.