Une Ă©tude pour Insight, une sociĂ©tĂ© de service, rĂ©vĂšle quâune fracture de longue date avec leurs Ă©quipes informatiques empĂȘche les entreprises dâadopter les nouvelles technologies et menace leur capacitĂ© de rĂ©ponse Ă la pandĂ©mie sur le long terme.
Pour 74 % des entreprises en France, le service informatique reste un service utilitaire plutĂŽt quâun facilitateur. Elles ne sont que 28 % Ă leur octroyer un siĂšge au sein de leur direction. Cela a des consĂ©quences directes : 56 % des entreprises françaises ne mettent pas Ă profit les nouvelles technologies car elles nâĂ©coutent pas leurs Ă©quipes informatiques.
Si une large majoritĂ© (85 %) pense que la pandĂ©mie a transformĂ© les modes de travail de maniĂšre permanente, 60% des entreprises hĂ©sitent Ă investir dans des projets qui pourraient amĂ©liorer lâexpĂ©rience de leurs employĂ©s ou optimiser leur activitĂ© car elles croient Ă un retour Ă la « normale » dâavant COVID-19.
Les autres rĂ©sultats intĂ©ressants de cette Ă©tude indiquent aussi que 77 % des dĂ©partements informatiques sont libres dâinvestir dans les compĂ©tences dont ils ont besoin, tandis que 86 % sont engagĂ©s dans le soutien de projets dâentreprise. Pourtant 70% ne font pas lâobjet de mesures par rapport aux indicateurs clĂ©s de performance (KPI) de lâentreprise. 51% des entreprises indiquent quâelles doivent investir davantage dans des compĂ©tences et technologies requises pour le tĂ©lĂ©travail, et 50% dans celles nĂ©cessaires Ă lâoptimisation de leur activitĂ©. 67 % des entreprises travaillent sur des projets destinĂ©s Ă amĂ©liorer lâexpĂ©rience de leurs employĂ©s et 50% en France sur des projets visant Ă optimiser leur activitĂ©. Cependant, en raison de la croyance dans un retour Ă la « normale », nombre de ces projets ne bĂ©nĂ©ficient pas du plein soutien de lâentreprise et sont donc davantage vouĂ©s Ă lâĂ©chec.
Vous trouverez l'ensemble de cette Ă©tudeici.