L’espace co-working, vaste et convivial, permet la détente, mais aussi l’échange et la circulation des idées sans contrainte dans de magnifiques locaux situés au-dessus de la Salle Pleyel. © Sylvaine Luckx
WALLIX, c’est avant tout une histoire. Une belle histoire d’hommes et de femmes, au bon moment, avec le bon timing. Et qui correspond à des attentes, donc à un marché avec lequel ça « matche » !
On ne peut pas rêver meilleur endroit pour une rencontre : le ciel parisien s’est enfin mis au beau fixe, et la lumière traverse largement les grandes baies vitrées de cet espace de « co-working ». « Espace » tout court serait un mot plus approprié. Dans les nouveaux locaux de WALLIX, au-dessus de la salle Pleyel à Paris, on bouge sans entrave, on respire, on souffle. Les canapés et les grands coussins oranges – l'orange est la couleur de WALLIX – sont une invitation, non pas au cocooning, mais au moins à la détente, et voisinent avec un superbe billard – au tapis orange lui aussi – et avec l’inévitable baby-foot de toute start-up qui se respecte. Sauf que l’histoire va bien au-delà de celle d’une énième start-up cool en surface…
Pour comprendre WALLIX revenons quelques dizaines d’années en arrière : aîné de quatre garçons, Jean-Noël de Galzain, dont le père est un « expat », passe son enfance en Afrique. Des aventures dans la brousse d’un continent premier qui, de son propre aveu, le marquent à vie. Le sens de la rencontre, du contact, de la valeur humaine, l’envie de sortir des sentiers battus, de créer, avec la conviction d’une certaine excellence française dont il fera son credo pour la croissance de WALLIX.