Nous avions déjà rencontré Portworx lors d’un IT Press Tour précédent. Il était intéressant de voir les progrès de l’entreprise et son évolution.
Dans son domaine, Portworx, qui compte désormais 50 salariés, affiche ses ambitions en voulant devenir la couche de contrôle des données en lien avec Kubernetes, dont le rôle est dévolu à l’orchestration et la gestion des containers. Plus que cela l’éditeur veut tenir ce rôle désormais auprès de tous les moteurs d’orchestration des containers comme Red Shift ou Mesosphere.
Portworx résout le problème de la persistance des containers « stateful » en production en leur apportant des fonctions de classe entreprise (haute disponibilité, backup, performance des I/O, migration de données dans différents Clouds) par l’intégration avec les principaux orchestrateurs du marché et Docker dans des déploiements automatisés répondant au concept DevOps.
Ce déploiement peut se réaliser sur site ou dans le Cloud.
Au bilan, l’éditeur revendique des coûts moindres sur le calcul ou le stockage pouvant aller jusqu’à 40 %. La solution est totalement logicielle et utilise les fonctions des orchestrateurs pour optimiser le placement des données. Les données sont chiffrées de bout en bout, en mouvement ou au repos, en reprenant les clés ou les certificats de l’entreprise cliente.
La solution est présente chez Dreamworks, le studio d’animation, la Lufthansa et Carrefour en France. La solution se développe sur des cas d’usages clairs comme l’l’internet des objets dans les environnements industriels, les clouds privés. Les déploiements se réalisent principalement sur des machines virtuelles ou des environnements bare metal.
Eric Han VP Product Management chez Portworx.